Je voudrais me souvenir de Melino avec les mots que j’ai utilisés lorsque, à la fin de mon mandat, j’ai dit au revoir à la Fédération en tant que Secrétaire général adjoint :
«Avec Melino j'ai partagé, au Secrétariat Général, cette dernière période de mon expérience dans la Fédération, tissée d'estime, de correction et de respect. Je lui suis reconnaissant car il n'a jamais forcé les choses lorsque les différentes évaluations et positions au sein de la confédération (jamais dans la Fédération) ne nous trouvaient pas d'accord.
Cela signifiait le respect, le dialogue, l’échange d’idées, dans la conviction que la comparaison est la richesse de l’Organisation.
Je veux me souvenir du leader ouvert et sensible, que j'appelais le Directeur Syndical, avec la lettre qu'il m'a écrite à la fin de l'administration de Naples, mandat qui m'a été donné, comme il le souhaitait, par l'Exécutif National de la Fédération :
«Les témoignages d’affection et de gratitude m’ont ému et m’ont en même temps convaincu de la validité de votre travail et de l’esprit avec lequel vous avez atteint les objectifs fixés.
Salut Melino, quand on se reverra, tu me demanderas à nouveau :
«« On lance le bal ? »